- Présentez-vous :
Cyrille DUPARCQ gérant de la cave Biovino.
- En quoi consiste votre métier ?
Mon travail est de promouvoir le bon vin faire connaître mes produits à un large public et donc de savoir ou également conseiller sur des accords mets vins et de m’adapter à chaque client.
- Quel est votre parcours ?
Moi c’est une reconversion professionnelle donc j’ai terminé par faire de la remise à niveau et passer un bts en hôtellerie restauration avec l’option art culinaire, art de la table et à la suite de ce BTS j’ai fait une année de spécialisation en tant que sommelier, une sommellerie et à la suite de cela j’ai commencé à travailler comme caviste salarié et in fine et pour monter ma cave.
- Quel est votre offre de produits ?
On a à peu près plus de 300 références faites de toutes toutes les régions de France : un peu de vin étranger, j’ai également des spiritueux, bières …
- Quel parcours du producteur au consommateur ?
Eh bien je fais venir les vins directement de chez le vigneron qui transitent alors de deux / trois jours par camion, je réceptionne la marchandise je la descends immédiatement en cave pour respecter une chaîne de froid avec le vin qu’il soit toujours à température constante et ensuite je mets tout ça à disposition des gens.
- Pourquoi avez-vous choisi ce métier ?
D’une part parce que le vin fait voyager par sa géographie également le rapport entre gastronomie et vin, les deux sont inséparables …
Cuisine et vin c’est inséparable puis enfin le contact humain.
- Pourquoi le bio, la permaculture ou autre spécificité ?
C’est du bon sens de respecter la vie des sols, la vie des plantes, la qualité de l’eau, la pratique. Le vin qu’on propose aux clients produisent chez eux un effet stimulant et de bien-être.
- Pourquoi travailler avec mes voisins producteurs ?
Pour leur démarche globale et une sélection aussi de produits de qualité et de surcroît en agriculture biologique.
- Quel est l’avenir de cette profession / activité selon vous ?
En tant que commerce de proximité je pense qu’il y a effectivement de l’avenir dans tout ce qui est commerce de proximité, les gens reviennent de plus en plus à chercher un contact, savoir d’où vient la provenance du produit, avoir une histoire sur le produit et puis pas dépenser l’argent tout n’importe comment. Cibler ses achats et savoir où son argent va passer, va transiter.